Le temps de la Promenade, les paysages de Françoise Goldstein se joindront à ceux d'Olivier Berlincourt.
A travers des traitements très différents : sur toile ou papier, en bandes de couleurs abstraites, formes imprécises ou travail d'apès photos, c'est l'espace pictural qu'elle interroge.
Espace mental, paysage transposé, illusion de profondeur ou utilisation du plan de la toile, c'est de l'acte de peindre, d'occuper l'espace dont il est question, de sa place dans la vie, de celui qui regarde, comme de celle qui peint.